martes, 11 de agosto de 2009

A Peter Pan de piedra, mi primer encuentro con L'Amoureux.

Peter Pan en la ventana de la habitación de Wendy.
(de www.waltdisneyworldhacks.com)


Hola querido Peter Pan de piedra, sí, ese será desde ahora tu nuevo apodo, Grisáceo. La verdad lo elegí porque la historia de aquél personaje semi humano y la tuya son bastante similares... Es por eso que te escribo este pequeño mensaje - hay veces en las que me pregunto si tú también serás mitad humano mitad roca.

Después de nuestra última conversación mi idea de su fuerte parecido se confirmó, ya que a ambos se les prometió dejar la ventana abierta siempre. En el caso de Peter, su madre la cierra después de un tiempo, al tener un segundo hijo. Nuestro pequeño héroe regresa finalmente una noche y al no poder entrar a casa se instala en los jardines de Kensington, totalmente destrozado. Lo que vaya a pasar con la tuya en un futuro, eso nadie lo sabe con certeza total; de lo único que estoy seguro es de mi sinceridad y firmeza al momento de decírtelo, además de mis fuertes deseos de guardar mi promesa por el tiempo que sea necesario y de que, por supuesto, algún día regreses.

Ve y crece Grisáceo, yo por el momento seguiré llevando tu nombre tallado en el corazón, como lo escribiste un tiempo en tu Central de Mensajería, mientras cruzo con fuerza los dedos esperando a que alguna vez llegues de nuevo a mi ventana...

Siempre tuyo,

O' Malley.

miércoles, 29 de julio de 2009

Peri y la voz arbórea.

Peri volaba en el bosque como de costumbre, cuando de repente desde un árbol una voz dulce, y hasta quizás chillona, empezó a cantar:

« Les souhaits ridicules

Si vous étiez moins raisonnable.
Je me garderais bien de venir vous conter
La folle et peu galante fable
Que je m'en vais vous débiter.
Une aune de boudin en fournit la matière.
"Une aune de boudin, ma chère !
Quelle pitié ! C’est une horreur !»
S'écriait une précieuse,
Qui, toujours tendre et sérieuse,
Ne veut ouïr parler que d'affaires de coeur.
Mais vous qui mieux qu'âme qui vive
Savez charmer en racontant,
Et dont l'expression est toujours si naïve,
Que l'on croit voir ce qu'on entend;
Qui savez que c'est la manière
Dont quelque chose est inventé,
Qui beaucoup plus que la matière
De tout récit fait la beauté.
Vous aimerez ma fable et sa moralité;
J'en ai, j'ose le dire, une assurance entière. »

El hada se sobresaltó, pues tal voz hablaba su lengua y parecía dirigirse a ella. Capturó totalmente su atención, decidió escucharla…

« Il était une fois un pauvre bûcheron
Qui las de sa pénible vie,
Avait, disait-il, grande envie
De s'aller reposer aux bords de l'Achéron;
Représentant, dans sa douleur profonde,
Que depuis qu'il était au monde,
Le Ciel cruel n'avait jamais
Voulu remplir un seul de ses souhaits.
Un jour que, dans le bois, il se mit à se plaindre,
A lui, la foudre en main, Jupiter s'apparut.
On aurait peine à bien dépeindre
La peur que le bonhomme en eut :
"Je ne veux rien, dit-il, en se jetant par terre,
Point de souhaits, point de Tonnerre,
Seigneur, demeurons but à but.
-- Cesse d'avoir aucune crainte :
Je viens, dit Jupiter, touché de ta complainte,
Te faire voir le tort que tu me fais.
Ecoute donc : je te promets,
Moi qui du monde entier suis le souverain maître,
D'exaucer pleinement les trois premiers souhaits
Que tu voudras former sur quoi que ce puisse être.
Vois ce qui peut te rendre heureux.
Vois ce qui peut te satisfaire;
Et comme ton bonheur dépend tout de tes voeux,
Songes-y bien avant que de les faire."


« Oh là là ! Ça semble parler de mon chéri Chat. Zut ! Il y a longtemps qu’il ne fait que se plaindre de son malheureux cœur, du chagrin qui lui possède… Ce crapaud Grisâtre ! Que je le déteste ! O’ Malley, lui aussi, je le hais ! Comme il est idiot… C’est sûr que ce drôle d’histoire est venu à moi exprès. » - pensaba Peri, ya un poco molesta. Mientras tanto la voz continuaba:

« A ces mots Jupiter dans les cieux remonta,
Et le gai bûcheron, embrassant sa falourde,
Pour retourner chez lui sur son dos la jeta.
Cette charge jamais ne lui parut moins lourde.
"Il ne faut pas, disait-il en trottant,
Dans tout ceci, rien faire à la légère;
Il faut, le cas est important,
En prendre avis de notre ménagère.
Çà dit-il, en entrant sous son toit de fougère,
Faisons, Fanchon, grand feu, grande chère,
Nous sommes riches à jamais,
Et nous n'avons qu'à faire des souhaits."
Là-dessus tout au long le fait il lui raconte.
A ce récit, l'épouse vive et prompte
Forma dans son esprit mille vastes projets;
Mais considérant l'importance
De s'y conduire avec prudence :
"Blaise, mon cher ami, dit-elle à son époux,
Ne gâtons rien par notre impatience;
Examinons bien entre nous
Ce qu'il faut faire en pareille occurrence;
Remettons à demain notre premier souhait
Et consultons notre chevet.
-- Je l'entends bien ainsi, dit le bonhomme Blaise.
Mais va tirer du vin derrière ces fagots."
A son retour il but, et goûtant à son aise
Près d'un grand feu la douceur du repos,
Il dit, en s'appuyant sur le dos de sa chaise :
"Pendant que nous avons une si bonne braise,
Qu'une aune de boudin viendrait bien à propos !"
A peine acheva-t-il de prononcer ces mots,
Que sa femme aperçut, grandement étonnée,
Un boudin fort long, qui partant
D'un des coins de la cheminée,
S'approchait d'elle en serpentant.
Elle fit un cri dans l'instant;
Mais jugeant que cette aventure
Avait pour cause le souhait
Que par bêtise toute pure
Son homme imprudent avait fait,
Il n'est point de pouille et d'injure
Que de dépit et de courroux
Elle ne dit au pauvre époux.
"Quand on peut, disait-elle, obtenir un empire,
De l'or, des perles, des rubis,
Des diamants, de beaux habits,
Est-ce alors du boudin qu'il faut que l'on désire ?
-- Hé bien, j'ai tort, dit-il, j'ai mal placé mon choix,
J'ai commis une faute énorme,
Je ferai mieux une autre fois.
-- Bon, bon, dit-elle, attendez-moi sous l'orme,
Pour faire un tel souhait, il faut être bien boeuf !"
L'époux plus d'une fois, emporté de colère,
Pensa faire tout bas le souhait d'être veuf,
Et peut-être, entre nous, ne pouvait-il mieux faire :
"Les hommes, disait-il, pour souffrir sont bien nés !
Peste soit du boudin et du boudin encore;
Plût à Dieu, maudite pécore,
Qu'il te pendît au bout du nez !" »

Nuestra chiquilla comenzaba a mirar el cielo con mayor frecuencia pues la voz no cesaba de cantar y parecía que tomaría un poco más de tiempo, ella estaba con prisa ya que el día la esperaba con ansiedad.“ Bordel! Je peux pas m’en aller! Je suis sûre que je dois écouter tout ça!» - pensaba.

« La prière aussitôt du Ciel fut écoutée,
Et dès que le mari la parole lâcha,
Au nez de l'épouse irritée
L'aune de boudin s'attacha.
Ce prodige imprévu grandement le fâcha.
Fanchon était jolie, elle avait bonne grâce,
Et pour dire sans fard la vérité du fait,
Cet ornement en cette place
Ne faisait pas un bon effet;
Si ce n'est qu'en pendant sur le bas du visage,
Il l'empêchait de parler aisément.
Pour un époux merveilleux avantage,
Et si grand qu'il pensa dans cet heureux moment
Ne souhaiter rien davantage.
"Je pourrais bien, disait-il à part soi,
Après un malheur si funeste,
Avec le souhait qui me reste,
Tout d'un plein saut me faire roi.
Rien n'égale, il est vrai, la grandeur souveraine;
Mais encore faut-il songer
Comment serait faite la reine,
Et dans quelle douleur ce serait la plonger
De l'aller placer sur un trône
Avec un nez plus long qu'une aune.
Il faut l'écouter sur cela,
Et qu'elle-même elle soit la maîtresse
De devenir une grande Princesse
En conservant l'horrible nez qu'elle a,
Ou de demeurer Bûcheronne
Avec un nez comme une autre personne,
Et tel qu'elle l'avait avant ce malheur-là."
La chose bien examinée,
Quoiqu'elle sût d'un sceptre et la force et l'effet,
Et que, quand on est couronnée,
On a toujours le nez bien fait;
Comme au désir de plaire il n'est rien qui ne cède,
Elle aima mieux garder son bavolet
Que d'être reine et d'être laide.
Ainsi le bûcheron ne changea point d'état,
Ne devint point grand potentat,
D'écus ne remplit point sa bourse :
Trop heureux d'employer le souhait qui restait,
Faible bonheur, pauvre ressource,
A remettre sa femme en l'état qu'elle était.
Bien est donc vrai qu'aux hommes misérables,
Aveugles, imprudents, inquiets, variables,
Pas n'appartient de faire des souhaits,
Et que peu d'entre eux sont capables
De bien user des dons que le Ciel leur a faits. »

« Mince ! Voilà un vrai portrait de mon pauvre minet ! Tout à fait lui : misérable, aveugle, imprudent, inquiet, variable… Cependant il n’est pas un bûcheron, il est un Prince censé de devenir un Roi… Il doit bien profiter les dons que le Ciel lui a donné. Son faible cœur est le coupable ! Il ne veut pas laisser aller cette tarte Grisâtre ! Celui-là est en tort. Comment pourrais-je lui aider, moi ? Comment lui faire voir ? J’en parlerai avec É ! » - pensó Peri luego de que la voz cesara su canto.

Inmediatamente se frotó las alas con su natural gracia y desapareció al instante.

miércoles, 1 de julio de 2009

Punto Final.

…Y si Grisáceo sigue con su vida, yo también lo haré. Ahora mismo tomo nuestra rosa y la guardo para siempre en este cristal. Desde allí me recordará lo que no debo hacer cuando vuelva a tener una nueva oportunidad sentimental. Me convertiré, de ahora en adelante, en un coleccionador de rosas. Punto Final.

enchanted-rose(Tomada de : http://www.crcreationstainedglass.com/images/gallery/enchanted-rose.jpg)

 

sábado, 27 de junio de 2009

El Oráculo habló del Huevo Bloqueador

Peri, Étoilie, buenas nuevas:

Ayer estuve concentrado en la Bola de Cristal por un tiempo, viendo unas proyecciones totalmente especiales que me hicieron soltar una que otra lágrima, como de costumbre…

Tales imágenes sonoras estaban todas cargadas de simbolismo y mostraban la vida sexual de varios magos en una ciudad utópica. Estos personajes tendrían como punto de encuentro ‘El Busecito’, un sitio libre e intelectual donde se vivía la unidad del cuerpo y del espíritu. En fin, el caso es que vi una escena que me abriría los ojos hacia algo importantísimo:

Allí, una maga tomaba un huevo del interior de su vagina y, con violencia, lo rompía a golpes. Ese huevo era el tapón que la inhibía y la bloqueaba. Al hacer esto se liberó y pudo encender su circuito. Como es de esperarse, mi querido Detective Multiforme me habló al respecto por mucho tiempo… Esa misma noche me quedé en su casa y a la mañana siguiente pensé en mi propio huevo. ¡Y creo que lo descubrí! Mi huevo es el siguiente: que e…

Ooops! El Antiguo sabio acaba de hablar y dice: “Cuando una doncella enseña sus alhajas va perdiendo su virtud” (…)

Creo que se entiende con facilidad.

Ya no me queda más sino terminar de sacarme aquél huevo para así encender mi circuito… Llevo poco tiempo haciéndolo, sin embargo he tenido buenos resultados hasta ahora.

huevo(Tomada de: http://news.bn.gs/images/articles/2008012509031221_1.jpg)

¡Feliz Encuentro!

jueves, 25 de junio de 2009

Viendo espejos en la calle…

Hoy estuve merodeando por ahí, Peri y Étoilie, en busca de empleo: se le necesita para mantener feliz a este gato consumista y americanamente popular. Durante mi travesía en esta ciudad loca vi dos ‘espejos’ que me causaron bastante gracia.

El primero fue en el sitio donde se requería mi presencia para el desarrollo de unas pruebas. Una gran edificación en medio de una calle completamente diversa: vendedores de miles de cosas por doquier… Restaurantes, librerías, tiendas de ropa y demás para encontrar justo en el medio un edificio imponente que, parece, puede convertirse en mi sitio de trabajo. Allí, luego de pasar los procesos de rutina para contratar alguien, llegó una bruja muy llamativa.

Tal bruja venia de Lesbos, aquella isla griega en la que Safo componía poemas candentes sobre su amor por sus compañeras. De aspecto y personalidad juvenil, nuestra dama no hizo sino llamar la atención durante su visita. Hechizos embellecedores y musicales aparecieron con frecuencia, hasta que decidió conjurar un akasha de comunicación. Todo muy normal, yo sospechaba su procedencia, pues entre locos nos reconocemos, hasta que algo en su conversación me cautivó:

“¡Si ves que sí te quiero Ademary!” – dijo en un tono bastante fuerte.

No sé pero inmediatamente pensé en Grisáceo, su tono de voz fue idéntico. Todo prosiguió naturalmente hasta su parco fin, un cierre prometedor totalmente falso: “Ya te llamo.”. Luego, ¡puuuuum!, uno de sus comunicadores de nuevo:

“¡Hola mi amor! ¿Cómo estás?” – saludó. De una forma totalmente diferente.

“Sí, baby… ¡Qué pancake!... ¡Hahaha!... Yo también, amor” – dijo, hablando con otra chica.

Yo me irrité totalmente, ahí vi de nuevo a mi ‘amorcito’ hablando con otro. Fue instantáneo: una de esas típicas llamadas de nosotros, él contestando como si de cualquier cosa se tratara para luego colgarme y llamar a otro a decirle todo lo que no me dice a mí, y yo, como perro callejero, a sus pies esperando una de sus ‘migajas’. Estaba totalmente furioso, me sentí su madre, a la que le hace pataletas y la ‘odia’ mientras que a los demás idiotas les da la vida. ¡Qué mal genio! En ese momento lo vi tan adolescente como aquella bruja, dándome cuenta de su edad: 20 milenios… El doble de 10… ¡Qué poca cosa! Pensé en las dos partes de una relación y para nada es justo esto.

La jornada prosiguió y el segundo espejo apareció, cuando, en el carruaje, estaba en camino hacia mi querida Torre. De nuevo en medio de una conversación:

“Sí, voy en el carruaje. A ver, ¿quiere que le diga los sellos de identificación? No, no voy para allá. Acabo de salir de Carval. Sí, hasta ahora la llamo, ¿qué le parece? Ay, estoy ocupado, luego la llamo. ¡No me diga que no sabe! ¿Qué le pasa?” – dice un hombre de apariencia horriblemente normal al hablarle a la que lo llamaba.

Yo me dije: “¡Y aquí vamos de nuevo! No quiero ser ese personaje estúpido una vez más, ni de riesgos. El colmo que uno se dé así, ¿qué tal? No, definitivamente ¡NO!” Y llegué a esta conclusión: “Es cierto que me duele mucho que todo esto sea así, me da rabia, quisiera que él me dijera que me ama, que me tome como la bruja y su ‘segunda’ chica, que se alegrara al saber de mí. Pero no, al parecer no soy sino el tonto del que me río porque estará siempre ahí. No, no quiero. Entonces, si Grisáceo no me demuestra que en verdad me ama y que quiere estar conmigo, si no me motiva para amarlo, esto terminará muriéndose.”

Ya van dos días que no hablamos, obviamente a él ni le importará, no sería raro que yo sea el único que lo piensa y lo extraña. Algo me dice en el corazón que puede que esté siendo injusto, pero ¿cómo no después de todo lo que me ha dicho? Decido mantenerme en mi posición, si él no me demuestra que me quiere en verdad, no seguiré botándole energía a esto. ¡Que se joda! Yo quiero ser valorado, no utilizado.

PRLovers(Tomada de http://thealchemicalegg.com/PRLovers.jpg)

miércoles, 24 de junio de 2009

Peri y Étoilie hablan del amor con il Gatto en sueños…|

gatomalo (Imagen tomada de mala-idea.blogspot.com/2007_09_01_archive.html)

Me dicen que éste es el Amor… Pues déjenme decirles que nunca pensé fuera así de difícil.

Desde que era un verdadero Kitten cultivé un ideal de amor: alguien que apareciera y me hiciera feliz, que me amara y me aceptara tal cual soy, encontrándome totalmente interesante así. Ese sería mi tesoro, mi amor, mi ángel. Con la esperanza de encontrarlo he vivido todo este tiempo, sin embargo ahora tengo bastantes problemas al experimentar mi primer cuento de hadas con alguien, sí, ya dejamos de enamorarnos para después quedarnos a un paso de concretar algo. Por fin el Sol alumbro mi camino para hacerme ver…

Él, asumamos de una vez lo ambiguo del caso, es Grisáceo. Un personaje de lo más peculiar: alto, fuerte, excitante… Viril, adolescente, egocéntrico, impaciente… Viendo sólo lo negativo…; A su favor tiene, eeeh, bueno, una ‘nobleza’ especial, un gusto notorio por la música, una sensualidad y una actitud de ‘sacrificio’ hacia nuestra relación. Las comillas serán reveladas en su momento.

Paréntesis: ¿Por qué no hacen sino insinuarme cosas respecto a él cuando estoy a punto de pensar en terminar con todo? ¿Acaso son ustedes el reflejo de ese miedo inconsciente y salvaje a la soledad, a decirle “adiós”? Díganle ya a esta irlandesa chiflada, y a la existencia entera de paso, que me dejen un minuto de verdadera calma y silencio… Díganle a mi corazón que sea fuerte y que llore, que se deshaga de todas esas cargas que lo acongojan para que por fin sea libre.

Estoy cansado de tanto pensar en esta cosa… ¡Qué pereza! ¿Por qué esto tiene que ser así? ¿Dónde está esa calma prometida, esa paz anhelada, proveniente del amor?

Sigamos…

Conocí a Grisáceo a través de un akasha de música precisamente. Me contactó por un gusto en común: La banda Forma Deforme. Nos volvimos amigos luego de haber apreciado su obra, ya que es un muy buen músico, al compartirla con mi especial amigo mediterráneo, Pelos de Castor C.D. En uno de sus mensajes aseguraba nuestra amistad… ¡No, paremos aquí! No estamos contando cómo nos conocimos, no, lo que estamos haciendo es quejándonos y así seguiremos.

Resulta que mi primer amor no es lo que yo espero… Por culpa del excesivo correr del tiempo, y de mi estúpida entrega, no me siento en lo más mínimo deseado por tal personaje. Soy un imbécil sirviente que está dispuesto a complacerlo en lo que más quiera: ¿Un dulce? Helo aquí. ¿Música? Lista en este momento. ¿Cena? Ya está servida. Ahora bien, lo que recibe esta humilde criada en respuesta: Sabes, no siento deseo sexual por ti (y yo muriéndome de ganas por estar con él). Definitivamente tengo que ir al gimnasio, estoy gordo, y estos barritos me tienen loco (cuando se es bien sabido que este gattolino tiene unos gorditos de más y alguno que otro problema con el acné). No tiene nada frecuentar akashas de encuentros sexuales buscando pareja (y yo tomándolo como mi único chico). Me encanta escribirle mensajes a todos los gatos menos a ti (y yo haciendo miles de hazañas para impresionarlo con bobaditas). ¿Te gustó? (Luego de estar en cama) “EEEh, ¡sí!” (Haciendo una expresión de pura alegría de batallón alemán en plena Segunda Guerra Mundial cuando yo me siento una encarnación de la misma Afrodita en la cama… ) Y así.

Entonces, como pueden ver, NO es lo que yo esperaba. No entiendo por qué está conmigo si no le gusto… ¿Por qué es tan ‘noble’ y se ‘sacrifica’ estando conmigo?... Yo quería oír palabras dulces, bonitas… ¡Quería sentirme la pieza más deseada! Nada esto se me había ocurrido antes: cual mendiga de iglesia, llorando por $200… ¡El colmo!

Pienso seguir con tales ilusiones… quiero ser una parte clave en mi relación. No sólo un añadido más. Sería lo peor el dejarlas a un lado… Definitivamente NO quiero hacerlo.

martes, 29 de julio de 2008

Carta al Plumoso tío Waldo.

Desde el camino hacia la Torre, con musas góticas cantandole a los oídos en lenguas del mediterraneo, con un ánimo estable y un poco de frío...

Ay mi querido tío...

Con todas tus plumas me has hecho tu amigo, tu compañero, tu escucha, tu hermano...

Con todos mis bigotes te has hecho mi amigo, mi compañero, mi escucha, mi hermano...

Muchas aventuras vivimos y muchas más viviremos,

De burdel en burdel a la vida le sonreímos.

Garra sobre ala caminamos felices y trágicos senderos:

Enamoramos y somos enamorados,

Siguiendo siempre las reglas de juego de los misteriosos Hados.

Hemos hecho de nuestro camino simple,

El más interesante de los senderos.

Hemos hecho de un mudo apretón de manos de buen temple,

El más musical de los suaves panderos.

Oh amigo...

De cuántas risas nos hemos hecho abrigo.

Sin embargo una advertencia escuché del cielo

Que me ha dejado un poco en desvelo:

“Aprovechad la abundancia de la que os hemos hecho gala,

Es menester purificarla con la garra sobre el ala,

Para así no probar más aquella vid mala”.

Y luego vino a mí aquella mágica visión...

72